Acheter une robe de mariée de seconde main avec La Sève

Acheter une robe de mariée de seconde main avec le dépôt vente La Sève - Blog mariage : La mariée aux pieds nus

Aujourd’hui, on vous propose de découvrir La Sève, un vrai joli dépôt vente de robes de mariée, un dressing responsable à Lyon qui ravira celles qui souhaitent acheter une robe de mariée de seconde main.

La prise de conscience écologique prend de plus en plus de place dans l’organisation d’un mariage. Réduction des déchets, de son empreinte environnementale, volonté d’appliquer à ce moment particulier les principes d’une philosophie et d’un mouvement plus global que l’on met en place dans son quotidien, chaque poste peut être pensé de façon à correspondre à ces considérations. Et l’achat de sa robe de mariée n’échappe pas à ces prises de conscience. De nombreuses futures mariées souhaitent aujourd’hui trouver des alternatives plus raisonnées comme l’achat d’une robe de mariée de seconde main.

que propose la boutique La Sève ?

La Sève est un lieu dédié aux futures mariées écosensibles, qui ont à cœur de vivre l’expérience unique et romantique de la quête de LA robe. Les futures mariées amoureuses de la nature et de leur moitié. Les futures mariées spontanées, qui rêvent d’un mariage authentique, au style bohème, industriel, champêtre, rock ou chic. Sur le blog, sur les réseaux et entre les murs de notre showroom lyonnais, nous les invitons à partager, échanger et se faire plaisir sans culpabiliser.

A propos d’Ophélia Plasse, fondatrice de La Sève

Ophélia Plasse, 27 ans, a une ambition bien simple : bousculer les codes en s’engageant pour une industrie du mariage plus verte. C’est en organisant son propre mariage qu’elle s’est interrogée sur l’impact écologique d’un tel événement et les alternatives qui lui permettraient de ne pas s’asseoir sur ses propres valeurs écoresponsables. Elle a alors quitté son poste dans la communication et créé le blog La Sève puis le dépôt-vente spécialisé du même nom.

Les objectifs eco-responsables de La Sève

L’objectif : apporter notre contribution vers une industrie du mariage plus verte et plus éthique. Au-delà même de son concept basé sur l’économie circulaire, La Sève agit au quotidien en tant qu’entreprise pour limiter son propre impact environnemental. Chaque geste compte : ses fournisseurs et ses partenaires sont minutieusement choisis pour leurs engagements écoresponsables.

Il n’est ici pas question de se priver, mais bien de se recentrer sur l’essentiel pour faire des choix en accord avec ses valeurs et ses désirs profonds. Préférer un décoration chinée ou louée et une vaisselle réutilisable, choisir un joailler éthique pour les alliances, se tourner vers les fleurs de saison ou séchées, choisir sa robe de mariée en seconde main dans un dépôt vente… Autant d’alternatives qui permettent de réduire son impact environnemental mais aussi le budget d’un tel événement.

Une solution plus économique

Acheter sa robe de mariée coûte cher, c’est un fait, puisqu’il faut compter environ 2000€ (ou plus) pour pouvoir s’offrir une robe de créateur. Entendons nous, tout travail mérite salaire et le prix d’une création comme celle-ci est bien-sûr justifié par les compétences et la maitrise des couturiers qui vont la concevoir. Si certaines s’autorisent à dépenser cette somme-là pour la robe de leur rêves, pour d’autres, c’est un coût bien trop important à accorder à une pièce qu’elles ne porteront qu’une seule fois dans leur vie. Grâce à l’achat d’une robe de mariée en dépôt vente, la question ne se pose plus ! Les futures mariées peuvent se faire plaisir en s’offrant la possibilité de porter une robe de créateur le jour de leur mariage, en la payant moins cher que si elles l’avaient achetée directement en boutique.

Comment fonctionne La Sève ?

La robe de mariée est souvent le fruit de mois de recherche, à travers des centaines de photos d’inspiration et des heures d’essayages. La robe d’une vie, et la robe d’une seule journée. Une tenue aussi précieuase qu’éphémère. Et souvent onéreuse – car lorsqu’on aime on ne compte pas -.
Alors une fois le grand jour passé, plu- tôt que de laisser leur robe de mariée prendre la poussière et se ternir au fond de leur dressing, de plus en plus de femmes font le choix de lui offrir une seconde vie.

STOP AUX IDEES RECUES

Non, ça ne porte pas malheur

La plupart des mariées qui confie leur robe à La Sève en sont souvent très émues car jus- tement, celle-ci est le souvenir d’une merveilleuse journée remplie d’amour. Et si de rares fois, le mariage a été annulé – soyons honnête – croyez-vous que c’est la robe qui a provoqué la rupture ?

Non, ce n’est pas sale

Chez La Sève, on est loin du cliché des friperies à l’ancienne. Ici, chaque robe de mariée de seconde main est nettoyée au préalable et soigneusement entretenue au quotidien. Aussi clean que dans une boutique traditionnelle !

Non, ce n’est pas impersonnel

Il est tout à fait possible de se réapproprier une robe de mariée qui a déjà été portée, en la personnalisant par exemple. Mais c’est aussi ses multiples vies qui en font une tenue unique et symbolique. L’objectif du dépôt vente La Sève dans les prochaines années, proposer de plus en plus d’upcycling afin de redonner vie à des robes de mariées plus anciennes et les remettre au goût du jour.

Non, l’expérience des essayages n’est pas oubliée !

Dans sa jolie boutique, Ophélia, à l’origine de La Sève accueille les futures mariées comme dans une boutique plus traditionnelle. L’endroit baigné de lumière a été pensé avec soin, la décoration est soignée, et les amoureuses y vivent une belle expérience d’achat aussi.

Le zéro déchet pour consommer mieux

Acheter sa robe de mariée de seconde main, cela veut aussi dire que vous n’en faites pas confectionner une spécialement pour vous. On y pense peu, mais fabriquer une robe de mariée, ça demande bien-sûr du temps et de la maitrise, mais ça coute aussi beaucoup à la planète. Traitement des tissus, chutes non utilisées pour un vêtement qu’on ne portera finalement qu’une seule fois. Louer sa robe de mariée, sa tenue d’invitée ou offrir à la location des tenues que l’on ne portera plus s’inscrit finalement dans une démarche de recyclage, pour limiter la production de vêtements à usage unique. Acheter sa robe de mariée de seconde main, c’est un geste éco-responsable, alors si cette notion est chère à vos yeux, pensez-y !

Combien coûte une robe de mariée en seconde main chez La Sève ?

Se tourner vers une robe de mariée de seconde main permet de réduire son budget global ou d’allouer la somme utilisée à un autre poste comme le dîner, la déco ou le voyage de noces. Vous rêvez d’une robe de créateur mais craignez de ne pas pouvoir vous l’offrir ? Vous avez craqué sur un modèle d’une ancienne collection qui n’est plus disponible ? Optez pour le dépôt-vente !

Les futures mariées en quête de bons plans trouveront chez La Sève une sélection tendance et minutieuse de robes de mariée de seconde main longues, courtes, combinaisons, ensembles et accessoires. Elles bénéficieront de remises allant de -20% à -60% sur les modèles intemporels et récents de leurs créatrices et marques préférées : Rime Arodaky, LoraFolk, Rembo Styling, Elsa Gary, Caroline Takvorian, Harpe Paris…

Crédits shooting lookbook

Dépôt vente robes de mariée de seconde main : La Sève | Photographe : Alejandra Loaiza | Vidéo : Rémy Mama | MUA : Léna Berland | Fleurs : Angèle & Marcel | Accessoires : Woola La ! | Modèles : Perrine Hériot – Fleur Chocolatte – Mailys Prat |

Vous êtes photographe et vous vous retrouvez dans l'esprit La mariée aux pieds nus, n'hésitez pas à nous contacter pour partager vos images à lmapn.publications@gmail.com . Les astérisques marquent des liens affiliés. Pour en savoir plus, n'hésitez pas à consulter la page Mentions Légales du site.
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  1. La Rizza Patricia dit :

    Bonjour
    Je voudrais vendre la robe de mariée de ma fille.
    Max Chaoul l Love You 129 + Traine prix d achat 1965€ avec traîne amovible.
    Pourriez-vous me dire si vous êtes intéressé, auquel cas je pourrais me envoyer les photos du modèle?
    En vous remerciant par avance.
    Bien cordialement,
    Patricia LA RIZZA

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